ÉPHÉMÉRIDE

8 et 9 mars MARTIGUES (Bouches du Rhône)
Journées de Plantes de la Côte Bleue. Patrice Fauchier animera, le samedi 8 à 11 h et dimanche 9 à 16 h, une visite guidée sur le thème : découverte pour les enfants des parfums végétaux, en se rendant sur les stands des pépiniéristes présents. Patrice rejoindra, par ailleurs, Antoine de Tata pour présenter le stand de notre association où l'on pourra déguster de la gelée de Butia capitata, obtenir de nombreuses informations sur les palmiers en région méditerranéenne grâce à l'expérience d'Antoine et visualiser de nombreuses illustrations de palmiers de tous climats par des panneaux de photographies. De nombreux pépiniéristes venus de toute la France présenteront leurs dernières nouveautés. On notera la présence de Michel Lys, le jardinier.
Contacts : Patrice FAUCHIER, 06 03 90 98 56 et Antoine DE TATA, 04 42 45 42 64

12 avril ST-NAZAIRELES- EYMES (Isère)
Visite de la pépinière de notre membre, Renaud DE LOOZE, qui a, entre autres nouveautés, fait construire une serre adossée à son chalet en bois. Venez découvrir La Palmeraie des Alpes ! Date à confirmer.
Contact : Emmanuel VERICEL, 04 78 45 82 07

20 et 21 avril UZES (Gard)
Lieu de notre assemblée générale en 2001, nous serons de nouveau présents pour le Festival des Jardins du Sud. Contact : Yves PIA, 04 66 03 19 22

26 avril MONTPELLIER (Hérault)
Visite du jardin botanique de la ville de Montpellier; nous espérons, grâce à un guide, visiter également les serres.
Contact : Pierre BIANCHI, 04 68 22 90 95

1er mai BREST (Finistère)
Il y aura un stand pour la 16e édition de la Foire aux Plantes organisée par l'Arche aux Plantes, association de soutien à l'action du Conservatoire Botanique National de Brest. Cette édition aura pour thème les plantes mellifères.
Contact : Jean GOURIER, 02 98 55 57 21

8 au 11 mai NICE (Alpes Maritimes)
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Pour la première fois depuis 6 ans, notre A.G. aura lieu sur la Côte d'Azur, La Palmeraie de la France. Venez voir les plus beaux jardins de palmiers et rencontrer ou retrouver les Fous de toute la France (et d'ailleurs !) Pour ceux qui peuvent être là dès le jeudi, il y a une visite prévue du jardin botanique de la ville de Nice. Le vendredi matin visite des jardins de la Villa les Cèdres (inscrivez vous vite - il n'y a que 25 places!) ou de la Villa Ephrussi de Rothschild, tous deux situés à Saint Jean-Cap Ferrat, suivies d'un repas sur la plage et, l'aprèsmidi, les jardins publics de la ville de Nice. Samedi matin il y aura notre réunion de l'A.G. suivie d'un repas et, l'après-midi, une visite du Parc Phoenix. Pour tous ceux qui peuvent rester le dimanche, nous traverserons la frontière pour visiter le jardin Hanbury à La Mortola. Consultez le programme détaillé et renvoyez votre inscription aujourd'hui. Pensez à retenir votre hébergement dès que possible.
Contact : Gérald MARTINEZ, 06 08 93 13 15

10 et 11 mai GAUJACQ (Landes)
RA.NA.PE.CO. (Rassemblement national des pépiniéristes collectionneurs) au Château de Gaujacq.
Contact: Patrick MARTY, 05 62 08 98 20

12 au 18 mai GERONE (Espagne)
Pendant la semaine, déplacement d'une journée aux Floralies de Gérone. Cette manifestation, peu connue en France, permet de voir le riche patrimoine architectural de cette ville dans un écrin de fleurs. Vaut le déplacement !
Contact : Pierre BIANCHI, 04 68 22 90 95

16, 17 et 18 mai COURSON (Essonne)
Le désormais célèbre rendez-vous de printemps de la région parisienne. Des volontaires sont recherchés pour animer notre stand.
Contacts : François WOELFFEL, 06 86 27 07 83 et Robert LEROY, 05 49 21 37 09

18 mai STRASBOURG (Bas Rhin)
Réunion des Fous du nord-est et frontaliers chez notre correspondant. Rendez-vous à 10 h.
Contact : Daniel PFISTER, 03 88 66 73 90

24 et 25 mai CHAMPTOCE-SURLOIRE (Maine-et-Loire)
Stand de l'association lors de la Fête des Plantes au jardin du Château du Pin. Manifestation de 9 h à 19 h.
Contact: Robert LEROY, 05 49 21 37 09

21 juin TOURS (Indre-et-Loire)
Rendez-vous à la gare de Tours. Visite à pied en ville des palmiers visibles de la rue, ainsi que l'important marché aux fleurs. Repas dans un restaurant du vieux Tours à 20 e. A 15 h visite en voiture de ROCHE CORBEN et ses palmiers exceptionnels et anciens. Retour sur TOURS et visite, à 17 h, du jardin botanique de la ville. Fin de visite à 18 h 30.
Contact: Robert LEROY, 05 49 21 37 09

30 septembre au 13 octobre LA RÉUNION
Voyage à “l'île intense” de La Réunion, la France sous les tropiques, au cœur de l'Océan indien, organisé avec la complicité de Palmeraie-Union, association sœur. Places limitées ! Veuillez vous inscrire rapidement en appelant le soir, après 20 h. Voyage réservé exclusivement aux membres de l'association à jour de leurs cotisations 2003.
Contact: Patrick MARTY, 05 62 08 98 20

25 au 28 octobre ELCHE (Espagne)
Récolte des dattes et des grenades dans la grande palmeraie d'Elche (au sud d'Alicante) avec ses 100 000 palmiers dattiers ; exploration des hypothétiques ancêtres du dattier (Phoenix iberica) et visite de la petite île de Tabarca. Pour ceux qui auraient quatre jours de plus, visite ensuite des merveilleux jardins de Grenade et de la vallée des fruits tropicaux d'Almunécar (un peu au sud). Flexibilité dans les dates et l'itinéraire, selon les possibilités du plus grand nombre.
Contact : Gérard DORIN, 05 53 29 40 29

4 au 6 décembre SAN REMO (Italie)
Nouvelle édition de la Biennale Européenne du Palmier avec, comme thème cette année, les insectes utiles et nuisible du palmier.
Contact : Claudio LITTARDI, 0183 999 011

ACTIVITES

MIDI PYRENEES
En fonction de l'expérience acquise, j'ai dressé une liste des espèces souhaitables dans la région Midi-Pyrénées, en dehors des zones d'altitude : Les “leaders” pour toutes expositions - Trachycarpus fortunei, T. wagnerianus, T. takil, T. nanus A planter de préférence au sud - Trithrinax campestris, Rhapidophyllum hystrix, Sabal minor, S. palmetto, S. mexicana, S. bermudana (non hybridé) A planter à bonne exposition, près d'un mur au sud - Chamaerops humilis, Butia capitata, B. eriospatha, B. yatay, B. paraguayensis, Washingtonia filifera, Braheaarmata Il faut noter que Phoenix canariensis ne supporte, de manière durable, que les zones urbaines, zones permettant également des expositions moins rigoureuses. Il est, de loin, préférable de planter tout palmier en plein soleil, sans oublier fertilisations et arrosages pendant l'été. Bonnes plantations !

Serge DASSAIN

QUESTIONS À EXPERT

CHAMEROPS ET CHARANCON (Suite)
Suite à l'article très intéressant de Marie-Charlotte Anstett et Mathilde Dufay paru dans Le Palmier n ° 33 sur la pollinisation du Chamaerops humilis par un charançon spécifique, j'aimerais savoir si le même type de réponse peut être fourni à propos des Chamaerops présents dans nos jardins, espaces verts, jardins publics ... Est-il prouvé que Derelomus chamaeropsis est seul responsable de la pollinisation de ces Chamaerops hortic l e s , à l'instar des populations naturelles de ce palmier. De nombreux Chamaerops fructifient dans nos jardins et dans les villes et hébergeraient donc également des charançons spécifiques, bien loin de leur lieu de vie naturel ? Les feuilles de ces Chamaerops horticoles émettent-elles également les mêmes composés volatils que les Chamaerops sauvages et participent-elles à l'attraction de ces insectes dans nos jardins ? Tout cela est d'autant plus frappant que les populations naturelles de Chamaerops humilis les plus proches sont à plus de 200 Km de chez nous.

Jean-Philippe GONZALES

REVUE DE PRESSE

Depuis quelques temps, le journal, Le Monde, publie régulièrement des articles en anglais (extraits du journal américain, The New York Ti m e s, avec lequel L e M o n d e collabore) dans son édition du dimanche. Philippe DUHAMEL nous a signalé un article intitulé “In Florida, Collectors and Their Palms Thrive Side by Side” (En Floride, les collectionneurs et leurs palmiers prolifèrent côte à côte), sous la plume de Anne Raver, avec une photo couleur d'un amateur de palmiers, Jeffrey Block, prise en compagnie de son talipot, C o r y p h a m b r a c u l i f e r a, dans l'édition du 2 février 2003. Nous apprenons l'histoire de ces passionnés de palmiers, nos cousins d'Amérique, toujours à l'affût du palmier rare pour agrémenter leurs collections. Parmi les personnes citées, il y a Steve Stern, ancien président du South Florida Palm Society. Steve était parmi les hôtes qui avaient reçu les Fous lors du dernier voyage des membres de notre association organisé en Floride en 1999. La Biennale de l'International Palm Society, chez nous en France l'année dernière (voir l'article de Nicolas FRIBOULET dans ce numéro), montre bien l'étendue mondiale de cette passion pour les palmiers que nous partageons avec des amateurs à travers le monde.

Jean-Pierre GADIOLLET, récemment installé avec sa famille en Bretagne et directeur des Espaces Verts de la ville de Fouesnant, a écrit un article sur les palmiers, qui a paru dans le journal, Pour Nos jardins, du mois de décembre 2002. L'article est illustré de belles photos et donne quelques informations essentielles sur les palmiers aux quelques 150 000 membres de l'association des “Jardiniers de France”, qui publie cette revue mensuelle. Notre association a été citée. Espérons que nous compterons bientôt de nouveaux membres parmi les jardiniers amateurs, suite à son article. Nous leurs disons “Bienvenue” !

POUR SALUER René HEBDING

Nous l'attendions sagement derrière la grille du jardin des Cèdres au Cap Ferrat. C'était une cérémonie annuelle. Il arrivait avec cet air gourmand contenu des instituteurs d'autrefois qui apprenaient à leurs élèves à écrire avec des pleins et des déliés. Il en avait la tenue grise. Nous nous groupions silencieusement autour de lui. Il commençait par ces mots prononcés d'une voix confidentielle : “Jubaea spectabilis”. Ignorant volontairement l'aggiornamento permanent du vocabulaire botanique, il désignait ainsi les Jubaea chilensis qui, en double file, encadraient l'avenue montant en pente douce vers la villa. L'entrée du jardin du paradis n'aurait pas été signifiée avec davantage de solennité. Le ton était donné, nous étions partis pour une lente procession de cinq heures sans pause, qui s'arrêterait devant les Washingtonia, les Sabal, les Brahea, les Livistona, les Phoenix, les Chamaedorea... avec des stations plus marquées devant les raretés, Butiagrus ou Rhopalostylis, ou cet obstiné Chambeyronia qui passait sa palme rouge entre deux vitres d'une serre pour aller tâter le soleil provençal. René Hebding, conservateur du jardin des Cèdres, était alsacien, son accent l'indiquait aussitôt. Appelé en 1960 par Julien Marnier-Lapostolle, il avait vécu quarante ans de sa vie dans ce jardin. Il avait été passionné de palmiers bien longtemps avant que nous n'en soyons Fous. Il parlait des plantes comme du seul monde qu'il connût. Pour beaucoup d'entre nous il fut un initiateur. Sa lenteur dans les explications botaniques tentait de faire partager moins une connaissance tatillonne qu'un amour. Lors d'une interview de France-Culture, en septembre 1989, évoquant les cycles végétatifs de la vie, de la mort des arbres, il parla de ses plantes avec une telle émotion, que l'on eut cru entendre des propos mystiques. “...On aimerait avoir mille ans de vie, disait-il alors, pour pénétrer cette immense beauté, qu'on ne peut pas nommer, qu'on ne peut même pas décrire... Cela se vit intérieurement. C'est un fleuve, il faut le vivre...” Cette autorité mondialement reconnue dans le domaine de la botanique tropicale était un autodidacte. Chaque année il accueillait aux Cèdres des promotions d'étudiants de l'Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Montpellier avec leurs professeurs. L'un d'eux et non des moindres, Francis Hallé* témoigne : “C'était un homme d'une immense envergure, je n'ai jamais rencontré de botaniste d'une telle culture, qui s'étendait de la génétique, à la phylogenèse...” René Hebding était un discret. Déjà fatigué par la maladie, il avançait à petits pas, répondant aux centaines de questions qu'on lui posait. Tandis qu'il soumettait les visiteurs du jardin à son lent marathon, il soutenait subrepticement ses énergies en grignotant des dattes. C'était un humoriste flegmatique, un modeste grandiose, un calme mystérieux. On rencontre rarement dans sa vie de tels hommes. Lorsqu'il prit sa retraite, René Hebding était retourné dans son Alsace natale où il est mort, loin de ses palmiers, le 29 septembre 2002. Il allait avoir soixantedouze ans.

Alain HERVE

* Francis Hallé, membre de notre comité scientifique, doit publier prochainement un échange d'entretiens botaniques avec René Hebding, Nous vous tiendrons au courant de cette parution.

COURRIER DES LECTEURS

Paysandisia archon, un réel danger pour les palmiers !
Ce lépidoptère, originaire de l'Amérique du sud, est connu par la plupart des membres de notre association. De nombreux articles ont été publiés dans la presse à large diffusion et des revues spécialisées, y compris Le Palmier. Cependant, quels sont ceux qui ont eu l'occasion de collecter des papillons, des œufs, des larves, des chrysalides de ce prédateur? Quels sont ceux qui ont pu réaliser une dissection partielle sur une des nombreuses larves qui affectent les Trachycar - pus adultes et sont à l'origine de la mortalité de jeunes Chamaerops ? Peu de personnes, sans doute, et c'est tant m i e u x ! Pour moi, j'ai été obligé, pendant de nombreuses années, de vivre avec lui; c'était au Pérou, sur une vaste plantation de palmiers à huile. Les palmiers adultes étaient très affaiblis par les larves de Castnia deadealus (même famille que Paysandisia). N o u s avons réussi à diminuer fortement la population de l'insecte mais sans pouvoir l'éliminer complètement. Il nous a donc fallu accepter sa présence et quelques dégâts sur les fruits. La connaissance du comportement de l'insecte et son cycle biologique a été déterminante pour réduire la population de Castnia. Il a été possible d'appliquer, au moment opportun, l'insecticide efficace. Il devrait en être de même pour Paysandisia. Les élus de la Marie de Hyères l'ont parfaitement compris et, depuis oct o b r e 2001, des réunions ont eu lieu avec des représentants d'administrations de recherches, des pépiniéristes, des associations, etc.… Des commissions se sont mises en place, notamment pour l'étude du cycle biologique de l'insecte, de son comportement et la recherche d'un insecticide efficace pour sa future homologation. L'INRA d'Antibes, des pépiniéristes de Hyères, la SRPV et le CIRAD se sont impliqués mais, pour mener à bien tout cela, il faut du temps et aussi de l'argent. Un financement important a été demandé à la communauté européenne afin de poursuivre les différents travaux de recherches. Ce financement a été ref u s é ! Du coup Paysandisia peut dormir tranquille, surtout en hiver, à l'intérieur des couronnes des palmiers volumineux. L'insecte a fait la preuve de sa résistance lors de l'hiver 2001/2002, particulièrement froid. Il pourra donc s'épanouir d'année en année sur tout le pourtour méditerranéen, de l'Espagne à l'Italie et même ailleurs, si rien n'est fait. Bonjour les dégâts ! Les palmiers représentent un pouvoir économique important dans nos régions méditerranéennes, lié au tourisme… la mer… le sable… les palmiers. Les municipalités l'ont bien compris. Beaucoup de particuliers en ont plantés, ce qui fait vivre en partie des pépiniéristes et autres intervenants de cette filière. Je crois que notre association a un rôle à jouer afin de sensibiliser les municipalités, surtout de la frontière espagnole à la frontière italienne. Un inventaire des foyers de Paysandisia devrait être réalisé dans chaque commune, de mai à septembre, par les membres de notre association. Les correspondants pourraient rassembler les informations qui seraient ensuite centralisées. L'ampleur des foyers permettrait de sensibiliser nos élus au problème. Cette implication de notre part pourrait permettre enfin d'obtenir le financement nécessaire pour la réalisation de recherches par des spécialistes entomologistes de l'INRA, du CIRAD et de la SRPV.

Roland HUGUENOT

RECTIFICATIFS

Dans l'article sur le Paysandisia archon et Pseudarenipses i n s u l a r u m d'Eric Chapin dans le numéro précédent, l'auteur nous signale qu'une référence bibliographique est erronée. Un co-auteur a été oublié involontairement : il s'agit de Jean Drescher. Veuillez noter la référence corrigée. RAYNAUD P., CHAPIN E., H O S TACHY B., DRESCHER J., BLANCHON F. , VIDAL C., 2002 - Deux nouveau ravageurs à l'assaut des palmiers de la Côte d 'Azur. Phtoma la défense des végétaux, 550, 18-21.

ANNONCES

ON RECHERCHE…

Passionné de palmiers et d'informatique désirant joindre l'utile à l'agréable. L'association souhaite remodeler son site Internet et recruter un Web master par un contrat rémunéré.

Conditions :

• Etre adhérent à jour de ses cotisations.
• Disposer d'un à deux jours hebdomadaires.
• Connaissances pointues de la gestion et maintenance d'un site ; langage PHP et MySQL indispensables.
• Sérieux, disponibilité, durabilité.

Objectifs :

• Remodelage du site : dépoussiérer le look graphique, mise au point de tableaux, formulaires, pages de micro paiement, gestion d'un forum de discussion…
• Maintenance, mise à jour, mise en ligne des chapitres de notre revue trimestrielle, Le Palmier, transformation au format PDF des formulaires d'inscription, réactivité face à l'actualité avec pages d'avertissements phytosanitaires... Vous serez épaulé par nos spécialistes du palmier pour valider les informations techniques, légendes d'illustrations et noms scientifiques des palmiers. Nous recherchons également des volontaires connaissant les palmiers pour notre comité de pilotage du site Internet : assurer l'assistance technique au Webmaster, vérification des informations…

FÉLICITATIONS…

Nous avons appris depuis notre denier numéro que notre ami et membre honoraire de l'association, le chilien Juan GRAU, a été honoré lors d'une belle cérémonie sur la place d'armes de Sanitago par la fondation qui a pour objectif la protection du palmier chilien, Jubaea chilensis. Il a été décoré de l'ordre de "Grand chevalier du palmier chilien" pour ses travaux de recherche et de protection de cette espèce. Bravo Juan !

À VENDRE…

Système complet PALM AZUR comprenant plus de 40 mètres de fils chauffants permettant de protéger plus de 15 plants du gel. Servi une seule saison. Cause : déménagement sous les tropiques ! Pour plus d'infos, contactez Emmanuel VERICEL au 04 78 45 82 07. Courriel : manu.vericel@libertysurf.fr

Gregory BELL vous propose de jeunes semis de Jubaea chilensis, disponibles de suite. D'une hauteur de 5 à 10 cm, ces petits cocotiers du Chili sont prêts à être mis en conteneurs de 3 l. ou plus et placés ensuite en pleine terre, d'après une méthode de culture prouvée, développée en baie de San Francisco. Gregory réussit à faire prospérer ses petits Jubaea quand d'autres les perdent à ce stade juvénile. Pour connaître les tarifs, faire parvenir une enveloppe affranchie portant votre nom et adresse à Gregory BELL, chez Constantin, 59, rue Ste. Catherine, Apt. 1, Entrée i, 59000 LILLE.

BANQUE DE GRAINES

Je tiens à remercier et à féliciter Pierre BIANCHI : un grand BRAVO pour le travail qu'il a accompli en tant que responsable de la Banque de Graines. Je le remercie également des nombreux envois de graines qu'il m'a fait parvenir et, en même temps, je remercie les autres fournisseurs habituels, Pierre-Olivier ALBANO, Jacques DELEUZE, Patrice FAUCHIER, Jean G ATUMEL, Robert LEROY, Gérald MART I N E Z , Gilles ROZET, Steve SWINSCOE et Eric VA N SPEYBROECK. Comme les stocks commencent à s'épuiser, il faudrait encore plus de fournisseurs. Si vous m'envoyez des graines, n'oubliez pas d'y joindre obligatoirement l'origine, la date de récolte et le nom de l'espèce, faute de quoi nous ne pourrons pas les proposer dans Le Palmier. Et pour finir j'ai été très touché par les nombreuses lettres d'encouragement quand j'ai accepté de prendre la relève de Pierre en tant que banquier. Merci à tous !

Daniel PFISTER

Consulter notre site Internet www.chez.com/palmiers pour connaître la disponibilité de la banque de graines entre deux revues (commandes réservées aux adhérents Fous de Palmiers). Les graines de la banque de graines sont traitées à l'insecticide : penser à se laver les mains après manipulation des graines.